Your browser doesn't support javascript.
Show: 20 | 50 | 100
Results 1 - 12 de 12
Filter
1.
European Respiratory Journal Conference: European Respiratory Society International Congress, ERS ; 60(Supplement 66), 2022.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-2280594

ABSTRACT

Background: Gas exchange abnormalities in COVID-19 survivors might involve impairment of the transfer through alveolar-capillary membrane and/or loss of capillary bed. Membrane diffusing capacity (Dm) and capillary volume (Vc) can be calculated from combined DLCO-DLNO. Aim(s): To investigate the values of Dm and Vc after COVID-19. Method(s): We retrospectively included all the patients (Pts) having performed DLCO-DLNO after COVID-19 in 4 French centres between 2020/04/20 and 2021/12/16. We excluded Pts with known history of COPD, severe asthma, interstitial lung disease, pulmonary hypertension, and congestive heart failure. We collected data from clinical records, pulmonary function test (PFT), and CT-scan when performed +/-1.5 months from PFT. Result(s): Data from 132 Pts have been analysed yet (over a total of about 500): 72 men (55%), mean age 57.7+/-13 years, mean BMI 30+/-5.7. 25 Pts (19%) were grade 1-4 on COVID-19 WHO scale (no oxygen), 45 (34%) were grade 5 (oxygen), 44 (33%) were grade 6 (NIV or high-flow oxygen), and 18 (14%) were grade 7-9 (mechanical ventilation). Median time between COVID-19 and PFT was 4.4 months [3.1-6.1]. 58 Pts (44%) had DLCO < lower limit of normal (LLN), with a significant correlation between initial COVID-19 severity and later DLCO. Mean Dm and Vc were 48.7% +/-15.1 and 80.2% +/-21. The most frequent pattern was Dm < LLN and normal Vc, in 78 Pts (59%). Only 1 (1%) had isolated Vc < LLN with normal Dm. Among the 37 (28%) with both Dm and Vc < LLN, 36 performed a CT-scan that showed fibrosing sequellae in 26 (72%). Conclusion(s): Dm was the most decreased variable, suggesting delayed healing after COVID-19. Decreased Vc was frequently associated with pulmonary fibrosis.

2.
Revue des Maladies Respiratoires Actualites ; 15(1):94-95, 2023.
Article in French | EMBASE | ID: covidwho-2182903

ABSTRACT

Declaration de liens d'interets: Les auteurs declarent ne pas avoir de liens d'interets. Copyright © 2022

3.
Revue des Maladies Respiratoires Actualites ; 15(1):7-8, 2023.
Article in French | EMBASE | ID: covidwho-2182899

ABSTRACT

Introduction: Les survivants de formes severes a critiques de COVID-19 peuvent presenter des sequelles fonctionnelles et radiologiques et des symptomes persistants a distance de l'episode aigu justifiant un suivi prolonge. L'objectif de l'etude est de determiner les trajectoires de recuperation respiratoire apres un COVID-19 severe, et les facteurs qui pourraient l'influencer. Methodes: Etude de cohorte prospective, multicentrique, longitudinale de patients adultes hospitalises pour COVID-19 severe (duree d'hospitalisation >= 7 j, debit d'oxygene >= 3 L) ou critique (intubation), evalues (clinique, TDM, EFR, test de marche, questionnaires de symptomes et de qualite de vie) 3 mois apres leur sortie de l'hopital, avec un suivi ulterieur conditionnel a 6 et 12 mois. Resultats: Au total, 486 participants ont ete inclus dans 13 hopitaux francais (age median : 61 ans;sexe feminin : 27 %) : 173 avaient necessite de l'oxygene seul, 96 un support ventilatoire non invasif (CPAP, OHD ou VNI) et 217 avaient ete intubes. Au total, 454 patients (93 %) ont ete evalues a 3 mois, 294 (60 %) et 163 (34 %) ont ete suivis respectivement jusqu'a 6 et 12 mois. Une dyspnee d'effort, un syndrome restrictif, un trouble de la diffusion et des anomalies radiologiques significatives ont ete observees respectivement dans 62 %, 33 %, 71 % et 57 % des cas a M3. En cas de suivi prolonge, la DLCO (% theo.) et la CVF (% theo.) augmentaient en moyenne de +4 points a M6 et respectivement de +6 points et +7 points a M12. Le sexe, l'indice de masse corporelle, les maladies cardiovasculaires ou respiratoires chroniques, l'immunodepression, l'etendue de la pneumonie pendant la phase aigue de la maladie et la duree prolongee (> 14 j) de ventilation mecanique invasive etaient associes a la DLCO a M3, mais pas a sa trajectoire ulterieure. Parmi 476 patients (97,9 %) ayant eu au moins une TDM thoracique au cours du suivi, 196 (41 %) avaient des sequelles significatives sur leur derniere imagerie. Le sexe, l'etendue de la pneumonie a la phase aigue, la duree de la ventilation mecanique invasive et la DLCO a M3 etaient independamment associes au resume des composantes physiques du SF-36, tandis que seul l'age etait associe au resume des composantes mentales du SF-36. Conclusion(s): Bien que la fonction respiratoire s'ameliore et que les anomalies radiologiques residuelles regressent jusqu'a 1 an apres l'episode aigu, une proportion importante des survivants de formes severes ou critiques de COVID-19 ont des sequelles radiologiques et fonctionnelles importantes et des symptomes residuels pouvant affecter leur qualite de vie et justifiant un tel suivi. Copyright © 2022

4.
Medical Imaging 2022: Computer-Aided Diagnosis ; 12033, 2022.
Article in English | Scopus | ID: covidwho-1923074

ABSTRACT

The COVID-19 infection, a current worldwide health concern, manifests as an alveolar-interstitial pneumonia with unknown long-Term evolution. It is also associated with vascular dysfunction and shows a vascular remodeling with a changed balance between small-and large-caliber vessels. In this study, we question the existence of residual vascular alteration in post-Acute sequelae of COVID-19 (PASC) by investigating possible associations between vascular remodeling biomarkers extracted from CT and functional, radiological and morphological parameters. The used vascular biomarkers concern the blood volume ratio of vessels with cross-section area inferior to 5 mm2 versus vessels of crosssection area inferior to 50 mm2 (BV5/BV50), an index of local peripheral vascular density and a peripheral composite vascular remodeling index, both measured in the antero-postero-lateral lung periphery (excluding mediastinal region). As a functional parameter, diffusing capacity of the lung for carbon monoxide (DLCO) is a measure depending on the vascular perfusion and the amount of interstitial thickening, a decreased DLCO value suggesting altered vascular perfusion. Imaging biomarkers can be extracted from the analysis of perfusion lung scintigraphy or CT scan. Some of them are included in our study. Radiological features include CT attenuation as a measure of persistence of ground glass opacity and development of changes suggestive to look for fibrosis, such as reticulations. As additional morphological parameter, lung deformation observed between inspiration/expiration maneuvers may be suggestive of the presence of reticulations inducing lung stiffness and breathing deficiency. The investigation of associations between vascular remodeling biomarkers obtained from CT and the above functional, radiological and morphological parameters revealed moderate to strong correlations highlighting the ability to capture the persistence of vascular alterations in PASC in relation with the development of fibrotic patterns, which is a promising direction for future research. © 2022 SPIE.

5.
Médecine et Maladies Infectieuses Formation ; 1(2, Supplement):S2, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1867500

ABSTRACT

Introduction La pandémie liée au SARS-CoV2 a fait près de 6 millions de décès dans le monde et plus de 130000 décès en France au 16 février 2022. Si des facteurs de risques cliniques ont été identifiés comme l'âge, le diabète ou encore le surpoids, le rôle des facteurs socio-économiques reste moins clair. La surmortalité en Seine-Saint-Denis, département intégrant une population jeune mais particulièrement précaire, était de +124% contre +69% dans Paris intra-muros durant la première vague. L'objectif principal de l'étude était d'évaluer la relation entre précarité sociale et maladie à COVID-19. Matériels et méthodes Dans cette étude monocentrique de type cas-témoin, les patients hospitalisés entre le 1er mars et le 31 octobre 2020 pour COVID-19 avec RT-PCR SARS-CoV2 positive et/ou scanner pulmonaire évocateur (cas) ont été comparés à des témoins hospitalisés pour un autre motif et présentant une RT-PCR SARS-CoV2 négative. Des données socio-démographiques, intégrant le score de précarité EPICES dont le seuil est fixé à 30,17, les caractéristiques cliniques et le niveau de littératie en santé ont été recueillis pour les patients. Chaque cas a été apparié à 2 témoins sur l'âge et le sexe selon une méthode de frequency matching. Les facteurs associés à une infection à SARS-CoV2 ont été obtenus à l'aide d'un modèle de régression logistique en analyse uni et multivariée. Résultats Les analyses ont été réalisées sur 249 patients : 69 cas et 180 témoins. La population d'étude était principalement masculine (N = 148 : 59,4%) et âgée de 65 ans et plus (N = 109 : 44,1%). Le score EPICES médian était de 43,2 (IQR 29,4 – 62,9). Il n'y avait pas de différence entre les deux groupes sur la proportion de sujets précaires selon le score EPICES en analyse univariée (44 cas et 138 témoins : 67,7% vs. 77,1%, p = 0,19). Comme attendu, l'âge avancé et un IMC élevé étaient des facteurs associés à l'infection à SARS-CoV2 en analyse multivariée. Un score EPICES > 30,17 n'était pas un facteur de risque d'infection (ORa = 0,46 ;IC 95% [0,21 ;1,01]). Le fait d'être actif sur le plan professionnel (ORa = 5,53 ;IC 95% [1,84 ;18,38]), de vivre dans un logement inférieur à 25 m2 par personne (ORa = 2.77 ;IC 95%[1.35 ;5.87]) et de présenter un faible niveau de littératie en santé (ORa = 2,61 ;IC 95% [1,22 ;5,68]) étaient quant à eux significativement associés à la maladie. Conclusion Aux côtés des facteurs de risque connus d'infection à SARS-CoV2, cette étude met en évidence des probables facteurs de risque d'exposition spécifique de la population de Seine-Saint-Denis : maintien de son activité professionnelle, promiscuité dans le logement et une faible littératie en santé. Le caractère peu discriminant du score EPICES est à interpréter avec prudence dans cette étude étant donné le haut niveau de précarité observé également parmi les cas. Il est possible que ce score ne capture pas les spécificités des facteurs de précarité associés à la maladie. Aucun lien d'intérêt

6.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):138-139, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586639

ABSTRACT

Introduction La COVID-19 peut être responsable d’une pneumonie sévère pouvant entraîner une fibrose séquellaire, mais présente également un tropisme vasculaire. L’objectif principal de cette étude était de décrire les parts respectives d’altération du facteur membranaire (Dm) et du volume capillaire pulmonaire (Vc) dans les suites d’une COVID-19, à l’aide de la technique de double diffusion DLCO-DLNO. Méthodes Étude rétrospective observationnelle monocentrique. Tous les patients majeurs ayant réalisé une EFR avec double diffusion dans le cadre d’une réévaluation post-COVID au CHU Avicenne entre le 20/04/2020 et le 24/08/2021 étaient éligibles. Ont été exclus les patients avec BPCO, PID, HTAP préexistante. Les données cliniques ont été recueillies, la première EFR de réévaluation et la TDM thoracique si réalisée à±1 mois des EFR. Résultats Au total, 41 hommes et 29 femmes ont été inclus (59 %/41 %), d’âge moyen 58,2 ans±13,3 et d’IMC 30,1±6,5 (Tableau 1). Ils ont été divisés en 3 groupes selon la sévérité de l’épisode initial : COVID-19 ambulatoire (groupe 1 ;n=18), hospitalisation en salle (groupe 2 ;n=24), hospitalisation en soins intensifs (groupe 3 ;n=28). L’EFR a été réalisée en moyenne 5,2 mois±2,9 après la COVID-19. La fonction était significativement plus altérée au sein du groupe 3 : 14 patients (20 %) présentaient un trouble ventilatoire restrictif, dont 12 appartenaient au groupe 3 ;26 patients (37 %) avaient une DLCO<limite inférieure de la normale, dont 22 appartenaient au groupe 3. Sur l’ensemble de la cohorte, les Dm et VC moyens étaient : 45,4 %±13,9 et 80,2 %±23 (Tableau 1). Le profil le plus fréquent était une altération isolée du Dm (38 patients ;54 %). Aucune altération isolée du Vc n’a été observée. Parmi 22 patients avec diminution des 2 variables, 20 avaient réalisé une TDM : 12 présentaient des signes de fibrose d’étendue>5 % avec bronchectasies par traction, 4 des réticulations sous-pleurales et 4 du verre dépoli. Conclusion Le Dm était la variable fonctionnelle la plus altérée. Elle peut être diminuée malgré une DLCO normale. Ce profil évoque préférentiellement un mécanisme de cicatrisation longue, y compris pour des COVID-19 initialement peu sévères. L’altération du Vc était fréquemment associée à une fibrose séquellaire. Cette étude va se poursuivre en incluant des patients supplémentaires, afin de décrire l’évolution longitudinale chez les patients ayant réalisé plusieurs mesures, et d’étudier les corrélations avec les autres variables fonctionnelles et avec les images de la TDM thoracique.

7.
Rev. Mal. Respir. ; 6(37): 505-510, 20200601.
Article in English, French | WHO COVID, ELSEVIER | ID: covidwho-1386577

ABSTRACT

The French-language Respiratory Medicine Society (SPLF) proposes a guide for the follow-up of patients who have presented with SARS-CoV-2 pneumonia. The proposals are based on known data from previous epidemics, on acute lesions observed in SARS-CoV-2 patients and on expert opinion. This guide proposes a follow-up based on three categories of patients: (1) patients managed outside hospital for possible or proven SARS-CoV-2 infection, referred by their physician for persistent dyspnoea; (2) patients hospitalized for SARS-CoV-2 pneumonia in a medical unit; (3) patients hospitalized for SARS-CoV-2 pneumonia in an intensive care unit. The subsequent follow-up will have to be adapted to the initial assessment. This guide emphasises the possibility of others causes of dyspnoea (cardiac, thromboembolic, hyperventilation syndrome…). These proposals may evolve over time as more knowledge becomes available.

8.
Médecine et Maladies Infectieuses ; 50(6):S94-S95, 2020.
Article in French | PMC | ID: covidwho-1386276

ABSTRACT

Introduction Au cours des pneumopathies à SARS-CoV-2, plusieurs stratégies thérapeutiques ont été proposées La description d’une aggravation secondaire liée à un orage cytokinique a justifié l’utilisation de molécules anti-inflammatoires Du fait de la disponibilité, du faible coût, de son utilisation dans d’autres pathologies infectieuses, les corticoïdes ont été proposés pour la prise en charge des patients à ce stade de l’infection Nous avons analysé l’ensemble des données d’une cohorte de patients hospitalisés pour une infection grave à SARS-CoV-2 L’objectif principal était d’étudier l’effet des corticoïdes sur l’incidence de ces évènements graves : intubation orotrachéale (IOT) ou décès (DC) Matériels et méthodes Les données ont été recueillies de manière rétrospective chez les patients hospitalisés pour une infection grave documentée par PCR (81 %) ou scanner thoracique (93 %) entre le 15/03/2020 et le 15/04/2020 Nous avons inclus les patients avec un score OMS=5 et nécessitant un débit d’O2 supérieur à 3 L/min pour maintenir une saturation>94 % Les patients décédés ou transférés en réanimation dans les 48heures suivant l’admission ont été exclus, ainsi que ceux inclus dans des protocoles thérapeutiques La corticothérapie était administrée, après discussion pluridisciplinaire, à la posologie de 2mg/kg équivalent prednisone de j1 à j3 puis 1mg/kg les 3jours suivants Les malades traités par corticoïdes (groupe CT) ont été comparés aux malades de même niveau de gravité pris en charge avant la mise en place de la RCP le 2 avril, et traités selon le même standard de soin (groupe sans CT) Le critère d’évaluation principal était la survenue d’une IOT ou le DC Résultats Un total de 120 patients a été analysé : 39 dans le groupe CT, 81 dans le groupe sans CT Les 2 groupes avaient la même moyenne d’âge (66,4±14 ans groupe CT, 66,1±15 ans groupe sans CT ;p=−0,9), même sexe ratio (p=0,4), même niveau d’atteinte sur le TDM, même paramètres d’inflammation à l’entrée (CRP 135±86mg/L groupe CT et 118±90mg/L groupe sans CT) Le nombre de patient en limitation de soin était le même dans chaque groupe, n=14 (35 %) groupe CT, n=27 (33 %) groupe sans CT (p=0,9) Le nombre de malades IOT ou DC était significativement différent dans le groupe CT n=9 (23 %), comparativement au groupe sans CT n=42 (53 %) avec p<0,01 Cette différence était plus importante chez les patients sans limitation de soins : groupe CT aucun IOT ou DC, groupe sans CT n=20 (37 %) La différence d’incidence d’IOT ou DC n’était pas significative dans le sous-groupe des patients limités, groupe CT n=9 (64 %) et groupe sans CT n=22 (81 %) IOT/DC (p=0,27) Conclusion Même si le nombre limité de patients, le caractère rétrospectif et monocentrique de l’étude ne permettent pas d’extrapoler les données, nous confirmons l’intérêt de la corticothérapie pour la prise en charge des patients atteints de pneumopathie à SARS-CoV-2 aigu, à la phase inflammatoire Les bénéfices à long terme restent à être évalués

9.
American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine ; 203(9), 2021.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-1277794

ABSTRACT

Introduction: COVID-19 is a respiratory disease with clinical manifestation, severity, and outcomes heterogeneity, from asymptomatic presentation to an acute hypoxemic respiratory failure. Clinical characteristics and comorbidities may affect susceptibility to a more severe COVID-19. We hypothesize that obstructive sleep apnea (OSA) may be a significant factor that mitigates COVID-19 severity. Methods: A prospective multicentric cohort "Co-survivors" with a sample size of 400 patients was set and started recruiting in June 2020. Patients with a respiratory presentation of COVID-19 were selected. All severities of COVID-19 were allowed from outpatients to patients requiring prolonged invasive mechanical ventilation. At 3-months follow-up, patients underwent a cardio-respiratory clinical investigation. Initial and actual clinical manifestations and comorbidities were collected. All patients underwent a full polysomnography (PSG) or respiratory polygraphy (PG). Results: At the time of the analysis, 121 patients were included in the cohort. OSA was diagnosed before COVID-19 and already treated in 10 patients, and 23 were waiting for investigation. Full PSG was performed in 88 patients (80 PSG and 8 PG). OSA was absent in 15 (17%) patients, while mild, moderate, and severe OSA was present in 30 (34.1%), 21 (23.9%) and 22 (25%), respectively. Outpatient COVID-19 was reported in 30 (34.1%), hospitalization was needed without and with acute respiratory failure in 13 (14%) and 45 (51%) patients, respectivelly. These later were predominantly male and older, did not exhibit more comorbidity but metabolic characteristics with significant higher body mass index and waist circumference. Sleep recordings revealed an AHI of 7.4 [1.7;15.4], 15.7 [8.3;48.9] and 21.9 [14;35.1] p<0.01 in these three classes of COVID-19 severity, respectively. Finally, undiagnosed OSA was a factor of COVID-19 severity. Conclusions: Patients with OSA are highly represented in a population of COVID-19 survivors. About 10% of the patients were diagnosed prior to infection, undiagnosed moderate or severe OSA was diagnosed in 48.9% of the remaining patents. Moreover, OSA is likely to be a factor of acute respiratory failure in patients infected with SARS-CoV-2.

11.
Rev Mal Respir ; 2020.
Article | WHO COVID | ID: covidwho-274082

ABSTRACT

The French-language Respiratory Medicine Society proposes a guide for the follow-up of patients who have presented with SARS-CoV-2 pneumonia. The proposals are based on known data from previous epidemics, on acute lesions observed in SARS-CoV-2 patients and on expert opinion. This guide proposes a follow-up based on three categories of patients: 1) patients managed outside hospital for possible or proven SARS-CoV-2 infection, referred by their physician for persistent dyspnoea;2) patients hospitalized for SARS-CoV-2 pneumonia in a medical unit;3) patients hospitalized for SARS-CoV-2 pneumonia in an intensive care unit. The subsequent follow-up will have to be adapted to the initial assessment. This guide emphasises the possibility of others causes of dyspnoea (cardiac, thromboembolic, hyperventilation syndrome..). These proposals may evolve over time as more knowledge becomes available.

12.
Revue des Maladies Respiratoires ; 2020.
Article | WHO COVID | ID: covidwho-260298

ABSTRACT

Résumé La Société de Pneumologie de Langue Française propose un guide pour le suivi respiratoire des patients ayant présenté une pneumonie à SARS-CoV-2 à partir des données connues des précédentes épidémies, des lésions aiguës constatées chez ces patients et d’opinions d’experts. Ce guide propose une conduite à tenir selon le type de patients : 1) patient pris en charge en ville pour une infection à SARS-CoV-2 possible ou prouvée adressé par son médecin traitant pour dyspnée persistante, 2) patient hospitalisé pour pneumonie à SARS-CoV-2 en unité conventionnelle, 3) patient hospitalisé pour pneumonie à SARS-CoV-2 ayant fait un séjour en réanimation. Le suivi ultérieur sera à adapter au bilan initial. Ce guide insiste sur le fait qu’il ne faut pas méconnaitre les autres causes de dyspnée (cardiaques, thromboemboliques, syndrome d’hyperventilation, …). Ces propositions pourront évoluer dans le temps au fil des connaissances sur le sujet. The French-language Respiratory Medicine Society proposes a guide for the follow-up of patients who have presented with SARS-CoV-2 pneumonia. The proposals are based on known data from previous epidemics, on acute lesions observed in SARS-CoV-2 patients and on expert opinion. This guide proposes a follow-up based on three categories of patients: 1) patients managed outside hospital for possible or proven SARS-CoV-2 infection, referred by their physician for persistent dyspnoea;2) patients hospitalized for SARS-CoV-2 pneumonia in a medical unit;3) patients hospitalized for SARS-CoV-2 pneumonia in an intensive care unit. The subsequent follow-up will have to be adapted to the initial assessment. This guide emphasises the possibility of others causes of dyspnoea (cardiac, thromboembolic, hyperventilation syndrome..). These proposals may evolve over time as more knowledge becomes available.

SELECTION OF CITATIONS
SEARCH DETAIL